Agnès Buzyn, ministre de la Santé, a lancé la semaine dernière, une stratégie globale en faveur de la prévention de la perte d’autonomie baptisée « Vieillir en bonne santé 2020-2022 ». Parce que la lutte contre l’isolement s’avère une arme très puissante de prévention, la stratégie vise à mobiliser le plus largement possible les acteurs de terrain autour de cet enjeu majeur. Les bonnes pratiques seront diffusées auprès des collectivités, parmi lesquelles le label « Villes amies des aînés ».

Ce début d’année est l’occasion de revenir sur la précédente. 2019 a été une année compliquée mais assez riche en termes d’avancées pour les aidants, d’innovations, d’initiatives en faveur du grand âge et laisse beaucoup d’espoir pour aborder cette nouvelle décennie. Petit voyage dans le temps pour se souvenir des événements qui ont marqué l’année des personnes fragiles et de leurs aidants.

La Communauté de communes du Pays de Mormal est la première communauté de communes à adhérer au Réseau francophone des villes amies des aînés, un projet de recherche porté par l’OMS. L’expérience menée à l’échelle de la CCPM suscite désormais la curiosité au-delà des frontières.

Créé en 2001, le CCA est une instance permettant aux Isséens âgés de plus de 55 ans de s’impliquer dans la vie de la commune. En 2020, dans le cadre de la démarche Ville Amie des Aînés, les membres de la commission poursuivront leurs actions sur la mobilité des personnes âgées, avec notamment l’aménagement de mobiliers de repos sur les arrêts des lignes du Tuvim. Un recueil de témoignages sur l’évolution des quartiers verra également le jour.

Lundi dernier s'est tenu la dernière réunion du Conseil Municipal de Montréjeau. L'ensemble des questions abordées ont été adoptées dont l'adhésion de la commune à l'association "Villes amies des aînés". Il s'agit d'un réseau de villes francophones émanant de l'Organisation ...

À La Roche-sur-Yon, cette année, le programme D-marche a reçu un prix dans le concours Villes amies des aînés. Le programme national D-marche vise à favoriser la marche auprès des personnes âgées. Le lien social est aussi au cœur de cette initiative. Reportage.

Faire de nos territoires de vie des lieux où il fait bon vieillir : c'est le défi que porte depuis 2005 la démarche Villes amies des aînés. Une ambition à laquelle la Caisse Nationale d'Assurance Maladiene pouvait rester insensible. Elle a signé en 2018 une convention de partenariat avec le Réseau Francophone des Villes Amies des Aînés qui vient d'être renouvelée.

Le candidat PS Gérard Allard souhaite « une ville attentive aux aînés ». Alors que 10 000 Rezéens sur 40 000 habitants ont passé le cap des 60 ans, « et seront 13 500 dans vingt ans selon les projections démographiques ». « C’est pourquoi, depuis 2014, la Ville de Rezé est passée d’une logique de prestations de services à une véritable politique seniors avec l’adhésion à la démarche « Ville amie des aînés », communique l’équipe de campagne du candidat.

Le gouvernement met en place des structures labellisés pour aider les plus réfractaires au numérique. Lors des 7eme Rencontres Villes Amies des Aînés sur le thème Territoires et Longévité, Stella Delouis, présidente de la Commission d'Action Sanitaire et Sociale de la CNAV a rappelé que 27 % des retraités étaient réfractaires à l’usage numérique.

Il va falloir faire évoluer la ville, l’adapter au vieillissement de la population. En 2050, 28% de la population européenne aura plus de 65 ans. Pour la première fois, il y aura dans le monde plus de personnes de plus de 65 ans que de moins de 15 ans. Et la majorité de la population (70%) vivra par ailleurs en ville.

Le réseau francophone des Villes amies des aînés compte désormais 145 villes membres autour d’un objectif : adapter leur territoire à l’avancée en âge. A la veille des municipales, la transition démographique se confirme comme un enjeu social et sociétal majeur.

Conseils des villes pionnières, grandes, moyennes, petites et premiers enseignements de l'étude européenne ESPON – ACPA : adapter les villes européennes au vieillissement

Vendredi 6 décembre, le palais des sports de Grenoble recevait encore plus de 550 seniors grenoblois pour le Thé dansant, événement incontournable de la fin de l’année. [...] Un succès mérité pour la Ville qui met tout en œuvre pour justifier son titre de Ville amie des aînés.

Mardi 3 décembre 2019, la Ville de Nantes accueillera le Réseau Francophone des Villes Amies des Aînés (RFVAA) pour ses 7èmes rencontres nationales sur le thème « Territoires et longévité », à la Cité des congrès. Un rendez-vous incontournable réunissant une vingtaine d’intervenants qui s’engagent en faveur du Vieillissement actif.

Partout dans le monde, certaines villes prennent la mesure des profondes mutations à venir. Et Besançon ? « Nous sommes ville amie des aînés depuis la création du réseau », explique Danielle Dard, l’adjointe au maire en charge des Solidarités. Un réseau dont l’objectif justement est de « mieux répondre aux défis de la transition démographique ».

Engagée depuis 2016 dans la démarche « Ville amie des aînés », la Ville de Grenoble assume un peu plus les prérogatives de ce label en organisant un conseil des aînés, demandé par les premiers intéressés. Grenoble se soucie de ses anciens. C'est le sens de la démarche « Ville amie des aînés » (Vada), adoptée par la Ville de Grenoble en 2018.

A l'occasion du Forum Libération «Instincts solidaires», rencontre avec Pierre-Olivier Lefebvre, délégué général du réseau francophone des Villes amies des aînés. Une association qui encourage les territoires urbains à s’adapter aux besoins des plus âgés.

Tous citoyens, debout jusqu'au bout. Vieillir debout dans des territoires qui cherchent des solutions : santé, mobilité, habitats, ctivités, emplois, connexions, lien social, maillage, soutiens de proximité, culture, autonomie, participation citoyenne... en échos à la démarche Villes Amies des Aînés.

Du lundi 18 novembre au dimanche 1er décembre 2019, la Ville de Rennes se mobilise pour la 5e édition de l’événement Viens je t’emmène, la semaine des sorties entre générations. Pendant deux semaines, près de 60 propositions de sorties sont proposées : temps d’échanges, balade, chant, théâtre, calligraphie… afin de favoriser le lien social et l’échange entre générations.

Ville aimée des aînés, Saint-Herblain consulte les plus de 60 ans pour adapter l’espace public et les services à leurs besoins.