Après l’urgence, le temps de la résilience ? L’équipe du réseau francophone des Villes amies des aînés l’a écrit dans une tribune les « jours d’après » ne doivent pas cantonner le vieillissement au médico-social. L’enjeu est le vivre ensemble. Pour Angélique Giacomini, sa déléguée générale adjointe, « l’épidémie a mis la démarche Villes amies des aînés à l’épreuve d’une situation inédite et donné l’occasion de vérifier l’intérêt d’un travail transversal sur le lien social». Elle cite l’exemple de Dijon : les bibliothécaires y ont téléphoné à leurs abonnés de plus de 70 ans, pour savoir comment ils allaient : « en toute simplicité, ils se connaissent, du coup l’appel n’a pas été vécu comme intrusif ou stigmatisant».
De toutes façons « on est toujours le vieux ou le jeune de quelqu’un ...
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Gazette des Communes, Club Santé Social
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